Plongée au cœur de Lamartine
par Guy FOSSAT


Publications de Guy FOSSAT

I- LIVRES

Avec co-auteurs

Editions Arléa :
Titre : Lamartine. Souvenirs, impressions, pensées et paysages pendant un voyage ne Orient, 1832-1833, ou notes d’un voyageur. Edition établie par Claude Pinganaud ; présentée par Guy Fossat et François Thual. Carte inédite du voyage, 675 pages. Octobre 2008.
Contribution à une réédition du premier Voyage en Orient de Lamartine.

Publications de l’Académie de Mâcon
Titre : Récits familiers, discours solennels par Alphonse de Lamartine. Choisis et présentés par Guy. Fossat et Elisabeth Leguay. Petite collection, 68 pages, 2013. 2e édition 2014. Titre : Emile Violet, vigneron et érudit. Un témoin des us et coutumes du Mâconnais. Textes déjà publiés et pages inédites de ses Carnets. Préface d’Isabelle Vernus, directrice des Archives départementales de Saône-et-Loire. Guy Fossat et Anne-Marie-Doucet. Petite collection 72 pages, 2016.

Seul auteur :

Publications de l’Académie de Mâcon
Titre : Voyager avec Lamartine en Turquie. Extraits ordonnés et illustrés du Nouveau voyage en Orient de Lamartine. Préface de Jean-Michel Dulin, président de l’Académie de Mâcon. Cahier illustré en couleurs, nombreuses illustration ne noir dans le texte (290 pages).Avril 2008. Ce récit de ce voyage de l’été 1850 à Constantinople et aux environs était tombé dans l’oubli, sa plus récente édition remontant aux années 1870. Lamartine venait y prendre possession du domaine que le sultan voulait bien lui concéder, non loin de Smyrne, et dans lequel il comptait terminer ses jours. Titre : Les rêves d’Orient de Lamartine et La Turquie contemporaine de son ami Charles Rolland. Préface du Maire de Mâcon, J.-P. Courtois. 2017. Album grand format. Première réédition depuis 1854, date de la publication, du voyage en Turquie qu’y fit son ami Charles Rolland (296 pages) Précédé par une première partie de 70 pages par G. Fossat ; largement illustrées, sur « L’intérêt de Lamartine pour l’Orient : rêves et réalités.» Titre : Une famille noble en Mâconnais au début du XIX e siècle. Vie domestique vie mondaine. Extrais du Journal d’Alix de Lamartine, mère de poète. Préface de Gabrielle Fort, Directrice du musée du Prieuré de Salles-Arbuissonnas en Beaujolais. (119 pages).2021. Volume de la Collection carrée (20x20cm) largement illustré. Témoignage de de la vie des milieux aisés à Mâcon et environs dans les années 1801-1829 : lieux de vie, éducation des enfants, santé, distractions, voyages, mariage, mort. La seule édition du Journal d’Alix de Lamartine date des années 1980 et se trouve épuisée.

Titre : Questions agricoles en Saône-et-Loire. Contributions de l’Académie de Mâcon. (19e et 20e siècles) Introduction situant cette Académie dans son évolution à l’égard de l’agriculture. Passant de l’agriculture à la culture. Une vingtaine de communications illustrant ce rôle sur divers aspects de l’agriculture depuis sa création en 1805. (320 pages) Cahier illustré couleurs et nombreuses illustration en noir dans le texte.2012. Titre : Ouvrons les portes. Le patrimoine bâti de l’Académie de Mâcon.67 pages, 2014. Les trois édifices dont l’Académie est propriétaire : la Chapelle des moines à Berzé la ville, l’Hôtel Senecé à Mâcon, le pavillon de la Solitude (ou Pavillon des Girondins de Lamartine) Titre : Michel Bouillot et le patrimoine bâti en Bourgogne du sud (17e et 18 e siècles). 2010. Un érudit multicarte natif de Saône-et-Loire. Ici, quelques conférences inédites, ainsi que de nombreuses images de ses dessins, peintures ou sculptures. Sa bibliographie. Pour aller plus loin, voir Association des Amis de Michel Bouillot à Mazille.

II-CONFERENCES, ARTICLES, VIDEOS, DIAPORAMAS

Sur divers sujets : Annales de l’Académie de Mâcon (www.academiedemacon.fr).
Sur Henri Guillemin: Cahiers (ou Bulletins) Présence d’Henri Guillemin. (www.henriguillemin.fr)
Enfin, site personnel de Guy Fossat (www.sitelamartine.com)

III-MODALITES D’ACHAT DES LIVRES

Edition Arléa : en librairie
Edition Académie de Mâcon: sur le site
A compte d’auteur : Guy Fossat
Rêves d’Orient d’A.de Lamartine et C. Rolland
Le Voyage à Tombouctou de René Caillié


Lamartine amateur de voyages et de séjours

Il me parait préférable de dire que « Lamartine a beaucoup aimé voyager » plutôt que de tenter une quantification, du genre « Lamartine a beaucoup voyagé ! » Car, de fait il a séjourné brièvement ou longuement en Italie ; quelquefois en Suisse, en Savoie, en Angleterre. Il a aussi parcouru des provinces de France au gré des cures thermales, des visites chez des amis ou dans la famille. Et que dire de sa vie alternée entre le Mâconnais et Paris!
Hors d’Europe, c’est l’Orient qui a suscité sa curiosité et son goût pour d’autres géographies, d’autres peuples et d’autres cultures. Deux de mes publications en témoignent : une réédition grand public de son premier voyage en Orient ; puis l’exhumation de son Nouveau voyage en Orient, périple de deux mois et séjour en Turquie ottomane en 1850 ; sous le titre de Voyager avec Lamartine en Turquie.
J’ai enfin réédité une Histoire de la Turquie contemporaine..Cet ouvrage était devenu introuvable car jamais réédité depuis sa publication en 1854 par son ami Charles Rolland,. Ce dernier était maire de Mâcon au moment où couvait la révolution de 1848.
Lamartine envoya Rolland en Turquie pour étudier la mise en valeur du domaine agricole que lui attribuait le Sultan. On découvre ainsi que le fil commun qui relie pour Lamartine et son épouse cette ferveur pour les provinces ottomanes est la recherche durable de finir leurs jours dans leurs « terres d’Asie ». Projet d’un grand domaine agricole, dans la région de Tyr (Liban actuel) lors du premier voyage, puis dans celle d’Izmir (Smyrne, à Burgaz-Owa) dans l’actuelle Turquie lors du second voyage.
Rêve entretenu chez eux pendant vingt ans, mais inabouti!






Voyager avec René Caillié

Surprenant voyage, surprenant voyageur. Enfant, René Caillié rêve de voyages lointains. Il bourlingue pendant dix ans avant de se lancer dans les profondeurs de l’Afrique ; se convertit à l’Islam, apprend l’arabe ; se joint à des caravanes de circonstances. Alors, seul, avec son bagage et un guide, il part pour Tombouctou. Souvent incompris de son entourage, mais apte à trouver des protecteurs… Départ en avril 1827 de Boké, autrefois Kakondy, dans l’actuelle Guinée. Il arrive à Tanger en septembre 1828. Expérience de la maladie-le scorbut-et de l’épuisement, de la marche à pied, des brimades. Traverse en partie le Sénégal et le Mali actuels puis le Maroc. Il nous livre d’inépuisables évocations de la nature et des gens rencontrés. Il connait bien la botanique. Total, près de trois mille kilomètres de périple. Satisfaction : il est reçu à Paris avec les honneurs et une récompense. La préface de l’islamologue, sociologue et ethnologue Jacques Berque à l’édition Maspero de 1979 du Voyage à Tombouctou sert ici d’introductions au contexte du récit lui-même. Contexte marqué par le phénomène du colonialisme et celui de l’esclavagisme. Caillié adhère à fond au premier, rejette moralement le second. J. Berque y rappelle bien que l’Afrique s’inscrit avec ses particularités dans l’Histoire de l’humanité…et que Caillié en est un acteur. En quoi ce passé est-il notre présent ? Ouvrage édité à compte d’auteur. Commandes, questions, avis : prendre contact avec l’auteur à l’aide du formulaire de contact disponible en fin de site.

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